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CADRE MONDIAL SUR LES PRODUITS CHIMIQUES
Vision
Notre vision est une planète exempte de produits chimiques et de déchets pour un avenir sûr, sain et durable.
Le cadre mondial en produits chimiques vise à promouvoir une gestion écologiquement rationnelle des produits chimiques tout au long de leur cycle de vie, afin de minimiser les impacts négatifs sur la santé humaine et l'environnement. Les objectifs principaux incluent la réduction des risques associés aux produits chimiques dangereux, l'amélioration de la transparence et de l'accès à l'information, le renforcement des capacités institutionnelles et techniques des pays, et la promotion de l'innovation pour des alternatives plus sûres. Cette vision s'appuie sur une coopération internationale renforcée, des réglementations harmonisées et une sensibilisation accrue du public pour assurer un avenir durable et sain pour tous.
Voir plus d'informations sur le cadre mondialDONNEES MADAGASCAR
Données physiques
Superficie (2021) : 581 800 km2
Terres agricoles (% de la superficie) (2021) : 70.3 %
Surface forestière (% de la surface terrestre) (2021) : 21.3 %
Données démographiques
Population (2022) : 29 611 714
Population urbaine (2022) : 11 809 744
Population rurale (2022) : 17 801 970
Chômage total (% de la population active totale) (2022) : 1.9 %
Espérance de vie à la naissance, total (années) (2021) : 64 ans
Télécharger les données paysLES CONVENTIONS
La convention
La Convention de Bâle, adoptée en 1989 et entrée en vigueur en 1992, est un traité international conçu pour contrôler et réguler les mouvements transfrontaliers de déchets dangereux et leur élimination. Son principal objectif est de protéger la santé humaine et l'environnement contre les effets nocifs de ces déchets. La convention impose aux pays signataires de garantir que ces déchets sont gérés de manière écologiquement rationnelle et de s'assurer que les mouvements transfrontaliers de ces déchets ne se produisent qu'avec le consentement préalable des pays importateurs et, dans certains cas, des pays de transit. En outre, elle encourage la réduction au minimum de la production de déchets dangereux et promeut l'adoption de technologies et de pratiques respectueuses de l'environnement pour leur gestion. La Convention de Bâle représente un cadre essentiel pour la coopération internationale en matière de gestion des déchets dangereux, favorisant la responsabilité partagée et la diligence pour prévenir les dommages environnementaux et sanitaires.
Madagascar
Télécharger la convention : CONVENTION DE BÂLE SUR LE CONTRÔLE DES MOUVEMENTS TRANSFRONTIÈRES DE DÉCHETS DANGEREUX ET DE LEUR ÉLIMINATION
Liste des parties
Données d'inventaire
Année : 2017
Année : 2017
Activités de formation, sensibilisation et communication des conventions
La convention
La Convention de Bâle, adoptée en 1989 et entrée en vigueur en 1992, est un traité international conçu pour contrôler et réguler les mouvements transfrontaliers de déchets dangereux et leur élimination. Son principal objectif est de protéger la santé humaine et l'environnement contre les effets nocifs de ces déchets. La convention impose aux pays signataires de garantir que ces déchets sont gérés de manière écologiquement rationnelle et de s'assurer que les mouvements transfrontaliers de ces déchets ne se produisent qu'avec le consentement préalable des pays importateurs et, dans certains cas, des pays de transit. En outre, elle encourage la réduction au minimum de la production de déchets dangereux et promeut l'adoption de technologies et de pratiques respectueuses de l'environnement pour leur gestion. La Convention de Bâle représente un cadre essentiel pour la coopération internationale en matière de gestion des déchets dangereux, favorisant la responsabilité partagée et la diligence pour prévenir les dommages environnementaux et sanitaires.
Madagascar
Télécharger la convention : CONVENTION DE ROTTERDAMSUR LA PROCÉDURE DE CONSENTEMENT PRÉALABLE EN CONNAISSANCE DE CAUSE APPLICABLE À CERTAINS PRODUITS CHIMIQUES ET PESTICIDES DANGEREUX QUI FONT L’OBJET D’UN COMMERCE INTERNATIONAL
Liste des parties
Annexe III de la convention : les produits chimiques soumis à la procédure de consentement préalable en connaissance de cause
Activités de formation, sensibilisation et communication des conventions
La convention
La Convention de Stockholm, adoptée en 2001 et entrée en vigueur en 2004, est un traité international visant à éliminer ou à réduire la production, l'utilisation et le rejet de polluants organiques persistants (POP). Les POP sont des substances chimiques qui persistent dans l'environnement, s'accumulent dans les organismes vivants et présentent des risques significatifs pour la santé humaine et l'environnement en raison de leur toxicité. La convention cible initialement une "douzaine sale" de produits chimiques, incluant certains pesticides, produits industriels et sous-produits, mais elle a depuis été élargie pour inclure d'autres substances dangereuses. Les pays signataires s'engagent à prendre des mesures pour éliminer ou restreindre la production et l'utilisation de ces POP, à promouvoir des alternatives plus sûres et à adopter des pratiques de gestion écologiquement rationnelles pour les déchets contenant des POP. En outre, la Convention de Stockholm encourage la recherche, la surveillance et l'échange d'informations pour renforcer la capacité mondiale à gérer les POP de manière efficace. Ce cadre international est crucial pour protéger la santé publique et l'environnement contre les effets néfastes des substances chimiques persistantes.
Madagascar
Télécharger la convention : CONVENTION DE STOCKHOLM SUR LES POLLUANTS ORGANIQUES PERSISTANTS (POP)
Liste des parties
Les produits chimiques dangereux
Données d'inventaire
Produits chimiques inventoriés
0
Textes sur les meilleurs techniques adoptés
0
Sites contaminés
0
Activités de formation, sensibilisation et communication des conventions
La convention
La Convention de Minamata sur le mercure, adoptée en 2013 et entrée en vigueur en 2017, est un traité international visant à protéger la santé humaine et l'environnement contre les effets néfastes du mercure et de ses composés. Nommée en référence à la ville japonaise de Minamata, où une grave contamination au mercure a causé des dommages sanitaires et environnementaux dévastateurs, la convention établit des mesures pour contrôler et réduire les émissions et les rejets de mercure tout au long de son cycle de vie. Les principales dispositions incluent l'interdiction de nouvelles mines de mercure, la réduction progressive de l'utilisation du mercure dans les produits et les procédés industriels, la promotion de méthodes alternatives sans mercure, et la gestion écologiquement rationnelle des stocks de mercure et des déchets contenant du mercure. La convention encourage également la coopération internationale, le renforcement des capacités et la sensibilisation pour une gestion plus sûre du mercure. En s'attaquant aux multiples sources de pollution par le mercure, la Convention de Minamata joue un rôle crucial dans la protection des écosystèmes et des populations contre les risques associés à ce métal toxique.
Madagascar
Télécharger la convention : CONVENTION DE MINAMATA SUR LE MERCURE TEXTE ET ANNEXES – ÉDITION 2023
Liste des parties
Données d'inventaire
Textes adoptés
0
Sur les meilleurs techniques : 6
Sur l'importation des produits contenant du mecure : 2
Utilisation des mercures
0tonnes
Production de chlore-alcali: 6
Production d'acétaldéhyde : 2
Utilisé comme catalyseurs: 7
Stock de mercure
0 tonnes
Mercure excédentaire provenant des usines de chlore-alcali
0 tonnes
Conventions de partenariat