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Lutte contre la désertification

Lutte contre la désertification se manifeste par l'instauration des politiques et stratégies

d'action visant à prévenir et à réduire la dégradation des terres

et la remise en état des terres partiellement dégradées 

 

Préserver la biodiversité

L’écosystème Malgache compte d’environ 12 000 espèces de plantes

363 espèces de reptiles, 238 espèces d’amphibiens, 283 espèces d’oiseaux

165 espèces de poissons et 99 espèces de lémuriens (Goodman et Benstead 2005)

 

Changement climatique

Accroître la résilience socioéconomique et assurer l’accès de la population aux ressources vitales

Réduire les émissions des gaz à effet de serre et renforcer les puits carbones

Instaurer les cadres nationaux de renforcement des actions climatiques

 

Président

Mot du Ministre

Chers partenaires, collaborateurs et amis de l'environnement, Depuis que j’ai eu l'honneur de prendre la direction du Ministère de l'Environnement et du Développement Durable de Madagascar, j'ai parcouru notre pays pour rencontrer personnellement nos communautés dans des régions différentes. Ces visites d’initiatives et  échanges ont été source d’inspiration et m’ont confirmé la nécessité d’un Ministère qui soit un catalyseur de développement durable, plutôt qu’un obstacle. Notre Ministère est résolu à stimuler l’économie de manière inclusive tout en préservant nos ressources naturelles, en intégrant la durabilité à tous les niveaux de décision. Loin de l'image d'un Ministère anti-économique ou exclusivement consacré au reboisement, nous nous positionnons comme un pilier du développement durable de Madagascar. Nous poussons l’intersectorialité et valorisons chaque contribution des secteurs public et privé, des ONG, de la société civile et des partenaires internationaux, car chaque action nous rapproche de notre objectif commun. Dans cette ère de défis mondiaux, où la corruption et les trafics illicites menacent nos efforts, je réaffirme notre plus fort engagement pour une tolérance zéro. Ces fléaux, qui sapent l'intégrité de notre travail ne trouveront aucune place dans notre vision d’un Madagascar prospère et juste. La protection de notre patrimoine naturel est essentielle non seulement pour préserver l'environnement mais aussi pour maintenir l'équilibre écologique vital à notre survie. Le gouvernement Malagasy fait de nombreux efforts pour atteindre cette vision et notre plan stratégique découle de la Politique Générale de l’Etat. Cela assure la cohérence de nos actions avec les objectifs nationaux à long-terme. Toutefois, ce défi climatique est certainement le plus grand de notre génération et Madagascar compte sur le développement de partenariats stratégiques et un renouveau de son positionnement sur la scène internationale comme étant un acteur majeur de la lutte contre le changement climatique et la protection de l’environnement.  Nous nous engageons sur des mécanismes de financement innovants, complémentaires, pour soutenir efficacement nos projets environnementaux. Simultanément, nous lançons des initiatives robustes et impactantes pour lutter contre la pollution et le changement climatique (gestion des déchets, mobilité électrique, chaînes de valeurs inclusives, biodiversité etc). Au cœur de notre stratégie se trouve le renforcement en cours de notre gouvernance pour garantir une transparence totale et une efficacité accrue dans toutes nos opérations. Enfin, il est primordial de renforcer l'éducation, la sensibilisation, et la recherche, piliers essentiels pour accroître la conscience environnementale et stimuler l'innovation durable. Ces trois premiers mois de rencontres et de dialogues avec vous tous, d’ici et d’ailleurs, m’ont convaincu de la force de notre engagement collectif. Ensemble, avec détermination et esprit de coopération, nous pouvons faire de Madagascar un exemple de réussite en matière de développement durable. Je ne saurai vous remercier de vous joindre à nous dans cet effort vital. Ensemble, défendons notre vision du développement inclusif et durable de Madagascar.

Les 03 conventions de Rio

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Convention sur la désertification

A Madagascar, le Plan d’Action National (PAN) de lutte contre la désertification a été adopté par le Décret N° 199-2003 du 11 Mars 2003 et qui a fixé deux orientations claires sur le développement des connaissances, la promotion de la conscientisation et de l’attitude des acteurs et (ii) l’amélioration de la productivité et la restauration des zones touchées. L’alignement du Plan D’Action National (PAN aligné) a été adopté par le Gouvernement par le Décret N° 2015-747 du 28/04/15 et a permis de renforcer les engagements du pays et de déterminer la situation des zones touchées par la désertification et la dégradation des terres et de voir leur dynamique dans le temps. Ces efforts sont actuellement renforcés par la définition des cibles volontaires en matière de Neutralité de la Dégradation des Terres (NDT) qui est « un état où la quantité et la qualité des terres nécessaires pour soutenir les fonctions et les services des écosystèmes et améliorer la sécurité alimentaire restent stables ou augmentent dans le cadre d’écosystèmes et d’échelles spatiale et temporelle définis » Ce processus a ainsi été mené avec l’appui d’un groupe de travail intersectoriel qui rassemble des acteurs étatiques, du secteur privé, de la société civile et des institutions de recherche qui travaillent sur la gestion durable des terres. Le processus de définition des cibles de la Neutralité de la Dégradation des Terres a ainsi permis de renforcer les initiatives déjà en cours au sein du pays afin qu’elles répondent à termes aux besoins clairs du pays en matière de sécurité alimentaire et de l’eau, à l’atténuation des effets du changement climatique et à l’adaptation, à la promotion de la consommation responsable et à la lutte contre les conflits pour l’accès aux ressources, plus particulièrement à l’utilisation de la terre. L’analyse historique des trois indicateurs choisis à savoir le changement d’occupation des terres, le carbonique du sol et la dynamique de la productivité des terres entre les années 2000 et 2010 ont permis d’observer une dégradation continue liée à la déforestation en faveur des zones agricoles et des zones de pâturage, une perte de carbone organique du sol et de la productivité des terres sur les classes d’occupations stables. Les cibles volontaires de Madagascar en matière de NDT Cible globale Madagascar s’engage à atteindre la neutralité de la dégradation des terres d’ici 2030. Cibles spécifiques - Améliorer la productivité et les stocks de carbone dans les zones cultivées et les zones de pâturage - Améliorer la couverture des infrastructures vertes - Réduire la conversion de forêts à d’autres types de couverts végétaux d’ici 2030 - Réduire la conversion de zones humides à d’autres types de couverts végétaux d’ici 2030. Les orientations politiques clés identifiées durant le processus se basent sur la coordination intersectorielle dans un cadre d’aménagement territorial claire et qui est primordiale pour assurer la gestion durable des terres à tous les niveaux ; les mesures techniques renforcées qui doivent à la fois combiner des mesures d’évitement de la dégradation des terres, de minimisation des processus de dégradation en cours par des meilleures pratiques et de développement des restaurations des paysages dégradés. Elles se baseront ainsi sur l’amélioration de la productivité et les stocks de carbone dans les zones cultivées et les zones de pâturage, l’augmentation de la couverture des infrastructures vertes, la réduction de la conversion de forêts et les zones humides à d’autres types de couverts végétaux ; la mobilisation des incitations financières qui doit passer par un engagement étatique plus accru et une meilleure inclusion du secteur privé pour une mise à l’échelle des activités de restauration des terres dégradées, par le développement des capacités d’innovations intersectorielles et par les initiatives de recherches sur la gestion durable des terres en lien avec la biodiversité et le changement climatique.  
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Convention sur la diversité biologique

La Convention sur la diversité biologique (CDB) est un traité international juridiquement contraignant qui a trois principaux objectifs : la conservation de la diversité biologique, l'utilisation durable de la diversité biologique et le partage juste et équitable des avantages découlant de l'utilisation des ressources génétiques. Son but général est d'encourager des mesures qui conduiront à un avenir durable. La conservation de la diversité biologique est une préoccupation commune de l'humanité. La Convention sur la diversité biologique vise tous les niveaux de la diversité biologique: les écosystèmes, les espèces et les ressources génétiques. Elle s'applique aussi aux biotechnologies, notamment dans le cadre du Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques. En fait, elle vise tous les domaines possibles qui sont directement ou indirectement liés à la diversité biologique et à son rôle en matière de développement, allant de la science, la politique et l'enseignement à l'agriculture, au monde des affaires, à la culture et bien plus encore. L'organe directeur de la Convention sur la diversité biologique est la Conférence des Parties (COP). Cette instance supérieure est composée de tous les gouvernements qui ont ratifié le traité (les Parties) et se réunit tous les deux ans pour examiner les progrès accomplis, établir des priorités et décider de plans de travail. Le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique est basé à Montréal, au Canada. Sa fonction principale est d'aider les gouvernements à mettre en œuvre la Convention et ses programmes de travail, d'organiser des réunions, de rédiger des documents et d'assurer une coordination avec d'autres organisations internationales, ainsi que de recueillir et diffuser des informations. Le Secrétaire exécutif est le chef du secrétariat. La Convention a été ouverte à la signature le 5 juin 1992 lors de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement, souvent appelé le « Sommet de la Terre » de Rio. Elle compte, à ce jour, 196 Parties.  
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Convention sur le changement climatique

Madagascar se met en phase avec les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) fixés au niveau du Système des Nations-Unies. L’objectif principal est de réduire la pauvreté de moitié en 2015. L’atteinte de tel objectif nécessite le développement de certains secteurs d’activités qui sont de plus en plus concernés par le changement climatique. Au régard au risque encouru à cause du changement climatique, il est nécessaire de définir une politique nationale de lutte contre le changement climatique en vue de parvenir à un développement durable. La politique nationale de lutte contre le changement climatique (PNLCC) s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention Cadre des Nations-Unies sur le Changement Climatique et du Protocole de Kyoto auxquels Madagascar a adhéré respectivement en 1998 et en 2003 et tient compte des différentes politiques existantes. Le but est de gérer efficacement le changement climatique de manière à ce que les effets néfastes qu’il a sur les différents secteurs et dans divers domaines soient réduits au minimum. D’ailleurs, cette politique s’inscrit dans la Politique Nationale de l’Environnement.Le présent document vise à renforcer la lutte contre le changement climatique dans le pays, et dans ce sens, sert de référence aux actions à entreprendre. Il donne également les grandes orientations de la lutte contre le changement climatique axées sur des stratégies de mise en œuvre. Il permet ainsi d’inciter les investisseurs et les partenaires techniques et financiers dans le domaine du changement climatique. 

A propos

La Politique Nationale de l’Environnement pour le Développement Durable s’inscrit dans la perspective de réalisation par Madagascar des Objectifs du Développement Durable (ODD). La Politique Générale de l’Etat et le Plan National de Développement placent la protection de l’Environnement parmi les secteurs prioritaires afin d’assurer la durabilité des actions de lutte contre la pauvreté et de développement du pays. Constatant que Madagascar est confronté à des contraintes anthropiques et climatiques engendrant une forte pression sur ses richesses en ressources naturelles existantes (sol, eau, air, mer, faune, flore etc…) et ayant une tendance à déséquilibrer l’Environnement ; Constatant toutefois que le capital naturel peut être un levier du développement et que la multiplicité et la diversité des acteurs, des initiatives et des potentialités pour la gestion durable de l’Environnement constituent un atout réel mais nécessitent toutefois une forte coordination afin d’assurer leur cohérence, leur synergie et leur complémentarité ; Le Gouvernement de Madagascar adopte une Politique Nationale de l’Environnement pour le Développement Durable qui se veut être la référence nationale en matière de gestion durable de l’Environnement intégrant les objectifs nationaux aux opportunités et contraintes internationales. Cette politique cadre avec les règles et principes généraux édictés par la Charte de l’Environnement Malagasy actualisée et se décline en plans et programmes environnementaux pour le développement durable. DEFINITIONS ET PRINCIPAUX ENJEUX La Politique Nationale de l’Environnement pour le Développement Durable est une politique tenant en compte de la globalité et de l’interdépendance des problèmes Environnementaux, sociaux, économiques et culturels.  L’Environnement, selon la Charte de l’Environnement Malagasy actualisée, est l’ensemble des milieux naturels, artificiels y compris les facteurs humains, socioculturels et climatiques qui intéressent le développement national. Elle place l’Homme au centre des préoccupations environnementales. Les différentes politiques sectorielles existantes seront abordées pour assurer leur compatibilité et leur complémentarité avec la Politique Nationale de l’Environnement pour le Développement Durable. Les principaux enjeux de la Politique Nationale de l’Environnement pour le Développement Durable sont : La gestion durable des ressources naturelles pour améliorer la Sécurité alimentaire et énergétique face à la croissance démographique et au changement climatique La préservation de la biodiversité unique au monde mais menacée La gestion efficace des zones marines et côtières avec près de 5600 km de linéaire côtière. La réduction des risques environnementaux et sanitaires liés aux différentes pollutions occasionnées par les besoins de développement social et économique L’utilisation rationnelle des zones humides qui fournissent des services essentiels et ressources en eau douce.  L’adhésion de la population en général à la politique environnementale axée sur le développement durable, par le changement de comportement et le développement de l’écocitoyenneté La mondialisation : la mise en cohérence des politiques nationales avec les conventions et accords internationaux ratifiés par Madagascar, l’intégration régionale, la libéralisation, l’interdépendance des économies, la concurrence, le NTIC, etc… qui influent sur l’Environnement
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Actualités

En raison des impacts du changement climatique, la région du Menabe fait partie des zones où les migrants des zones environnantes s'installent en raison d'un environnement propice à la production et aux ressources naturelles terrestres et maritimes. Cependant, cette migration génère une série de pressions considérables sur les ressources naturelles de la région, notamment au sein de l'aire protégée de Menabe Antimena, du fait de leur installation dans une zone soumise à protection, entraînant ainsi la déforestation et la réduction de l'étendue protégée. Afin de renforcer la préservation de l’aire protégée du Menabe Antimena et de répondre à la problématique migratoire dans le Menabe, le MEDD et l’OIM ont initié le projet « Promouvoir la résilience climatique des populations impactées par le changement climatique dans la basse Tsiribihina ». Ce projet a été officiellement lancé le 25 avril 2024, sous la direction du Ministre Max Andonirina FONTAINE, du Chef du Bureau du Coordonnateur Résident des Nations Unies à Madagascar, de l'Administrateur de l'IFD et du Chef de Mission de l'OIM à Madagascar. L'objectif principal est de soutenir les initiatives du gouvernement malgache pour préserver l'aire protégée de Menabe Antimena tout en renforçant la capacité d'adaptation des populations locales et des migrants face au changement climatique. La durée du projet s'étendra sur 24 mois avec un financement estimé à 300 000 dollars provenant du Fonds de développement mis en place par l'OIM.

Classé en tant que parc naturel de 2ème catégorie, Andohahela est situé dans la région d’Anosy, au sud extrême. Couvrant une superficie de 76 020 hectares, Madagascar National Parks est l’un des organismes rattachés au Ministère de l’Environnement et du Développement Durable chargé de la gestion du parc national d’Andohahela. Ce site du patrimoine mondial a été distingué pour ses ressources naturelles uniques. De nombreuses espèces animales sont spécifiquement localisées dans le sud du pays, plus précisément dans cette zone protégée. Doté d’une dense forêt humide, ce parc se trouve en travers du tropique du Capricorne, lui conférant une particularité rare à l’échelle mondiale. Offrant une grande diversité de paysages, une forêt humide borde la partie est du parc d’Andohahela. Les rivières alimentent les régions d’Anosy et d’Androy. En raison de son importance écologique, cette zone joue également un rôle économique pour le pays. Sa biodiversité unique attire des touristes venus découvrir les 12 espèces de lémuriens différentes présentes à Andohahela dont le Lemur catta (Maki catta), Propithecus verreauxi (Sifaka), Hapalemur griseus meridionalis et Eulemur fulvus Collaris. À cela s’ajoutent 129 espèces d’oiseaux et 50 espèces de grenouilles ainsi qu’un millier d’espèces floristiques répertoriées dans le parc national d’Andohahela. On y recense 5 des 11 espèces rares de Didieraceae présentes exclusivement dans le sud de l’île.

Dans le cadre de la révision du Cadre de Développement des Statistiques Environnementales de Madagascar (CDSE), dont la dernière version a été publiée en 2016, un atelier sur le nettoyage et le renforcement de la collecte des données a eu lieu du 24 au 26 avril 2024. Organisé par l'Institut National de l'Environnement. Statistiques (INSTAT) en collaboration avec le PNUD et MK Business Analysis (MK BA), consultant du projet. Cet atelier s'inscrit dans la continuité d'autres ateliers : - L'atelier d'identification des indicateurs et des sources d'information qui ont constitué la liste des indicateurs du CDSE 2024 ; - L'atelier sur la conception du formulaire de collecte des données et la formation des utilisateurs de ce formulaire ; - Collecte de données provenant de sources connues. Cet atelier a été suivi d'un atelier de validation des données, qui a précédé l'atelier de conception et de rédaction du CDSE.

Madagascar a été répertorié parmi les nations les plus exposées aux effets du changement climatique. Cette reconnaissance a marqué une avancée majeure dans l’élaboration de diverses stratégies pour faire face à cette problématique et la réduire au sein de notre pays. Parmi ces initiatives figurent la finalisation du Plan national pour le changement climatique (PNA) en 2021, la révision de la Politique nationale de lutte contre le changement climatique (PNLCCC) et l’achèvement de la deuxième Contribution déterminée au niveau national (CDN2) en 2022. Afin de pouvoir bénéficier d’un financement du Fonds vert pour le climat (GCF), un atelier a été organisé pour élaborer un plan stratégique visant à garantir l’accès aux financements du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable ainsi que des acteurs engagés dans la lutte contre le changement climatique, ce 24 avril 2024. La FAO, partenaire ayant obtenu l’approbation du GCF pour les fonds qu’elle octroie, collabore étroitement avec le Ministère dans le but d’accroître les financements que Madagascar reçoit du GCF pour la mise en œuvre de projets destinés à combattre et atténuer les effets du changement climatique. Déjà, certains projets tels que “Tetikasa Paysage durable de l’Est de Madagascar” ont bénéficié d’un soutien financier du GCF. Cependant, il est indéniable que le niveau de financement alloué à Madagascar demeure insuffisant, ce qui justifie la mise en œuvre de cette stratégie commune.

Ressources disponibles

The three Rio conventions

Les changements climatiques, la désertification et la perte de biodiversité sont étroitement liés et constituent des défis existentiels pour l'humanité. En réponse à ces défis, les gouvernements ont fondé trois « Conventions de Rio sœurs » lors du Sommet de la Terre de 1992 à Rio de Janeiro, au Brésil.

Convention sur la biodiversité

Signée par 150 dirigeants gouvernementaux lors du Sommet de la Terre à Rio en 1992, la Convention sur la diversité biologique se consacre à la promotion du développement durable.

Essence RPF

Guide des essences pour la Restauration des Paysages et des Forêts (RPF) à Madagascar